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Familles d’accueil de personnes âgées : entre identités et représentations professionnelles

Josette GUILLAUMIN-LABORIE, formatrice de travailleurs sociaux et directrice-adjointe d’une maison d’accueil spécialisé (extraits)

Pourquoi cette recherche ?

Il n’y a pas de recherche sans motivation personnelle : la mienne relevait d’une possibilité de reconversion professionnelle [1], mais aussi d’une réponse éventuelle à des préoccupations familiales et personnelles. Ignorant moi-même cette modalité de prise en charge pour les personnes âgées qu’est l’accueil familial Accueil familial Alternative au maintien à domicile et au placement en établissement spécialisé : les personnes handicapées ou âgées sont prises en charge au domicile de particuliers agréés et contrôlés par les conseils départementaux (ou par des établissements de santé mentale). L’accueil peut être permanent (contrat conclu pour une durée indéterminée) ou temporaire, à temps complet (24h/24) ou à temps partiel (exemple : accueil de jour), ou séquentiel (exemple : un weekend tous les mois). , je m’aperçus que cette ignorance était largement partagée, non seulement dans le grand public, mais également dans les secteurs associatifs et médico-sociaux au sein desquels j’entreprenais ma recherche. Je pensais que ce mode d’accueil était innovant, et pouvait représenter une alternative aux accueils collectifs en maisons de retraite et au maintien à domicile volontariste, laissant parfois la personne âgée dans un grand isolement.

Exploration d’un territoire inconnu

Connaître son contexte était la condition préalable à la découverte de ce terrain. Rencontrer deux familles accueillantes, pour des entretiens exploratoires, constitua la première étape afin de tenter de répondre à quatre grandes questions :

1. C’est quoi ? Questions de contextes
De quoi s’agit-il ? Quels sont les contextes sociaux, environnementaux et législatifs qui peu­vent expliquer cette modalité d’accueil ? Quelle est sa réalité géographique sur le territoire français ? Les familles d’accueil sont-elles organisées en associations ? Si oui. pourquoi ?

2. C’est qui ? Questions d’identités
Qui sont ces familles qui accueillent des personnes âgées ? Ce sont des familles d’accueil mais ce sont les femmes, à une écrasante majorité, qui ont le statut d’accueillant. Quel est leur âge, leur habitat, leur composition familiale ? L’accueil familial confère-t-il un statut social, une identité professionnelle ?

3. C’est comment ? Questions de pratiques
Que font-elles ? En quoi consiste cet accueil ? Comment s’y prennent-elles ? Quels sont les avantages et les inconvénients du point de vue des familles accueillantes ?

4. Ces « Qui » pensent « Quoi » de leur « Comment » ? Questions de représentations
Que pensent les familles d’accueil de personnes âgées de leur activité ? Comment jugent-elles leur qualité de vie et celle des personnes accueillies ? Pensent-elles qu’il s’agit d’un travail ? D’un travail comme les autres ? D’un travail social ? Quelles représentations de ce travail ont-elles ? Leurs représentations professionnelles sont-elles liées au choix de cette activité ?

Ceci me permit d’élaborer un questionnaire qui sera distribué par le biais d’une association de familles d’accueil de personnes âgées, située en Gironde. Du dépouillement de ces question­naires ressortira une typologie des représentations professionnelles.

Contours théoriques

De l’étymologie « famille d’accueil famille d'accueil Terme désuet et imprécis remplacé, depuis 2002, pour l’accueil d’adultes âgés ou handicapés, par l’appellation accueillant familial. Saisir "famille d’accueil" sur un moteur de recherche conduit à des sites traitant de placements d’enfants et/ou d’animaux maltraités : cherchez plutôt "accueil familial" ou "accueillants familiaux" !  » et « personnes âgées » découlait une recherche qui allait s’orienter vers deux grands concepts : d’une part, la « famille » qui se définit par son activité d’accueil et qui est payée pour cela, avec la problématique d’un travail où se mêlent de maniè­re inextricable vie privée et vie professionnelle ; d’autre part « personne âgée », euphémisme désignant la vieillesse, et plus particulièrement celle qui a besoin d’aide. Il paraissait donc incontournable d’évoquer les représentations sociales de la vieillesse et de la dépendance.

L’identité professionnelle des familles d’accueil apparaît comme mal définie, soit par manque de reconnaissance sociale dans la branche des travailleurs sociaux, soit par manque de forma­tion et de qualification, soit encore du fait de la représentation sociale généralement répandue qui voudrait que s’occuper des personnes âgées ne requière pas de compétences particulières et qu’il suffit de bon sens et de motivations.

Les pratiques sociales de l’accueil familial sont apparues dans leur complexité et leur subtili­té, mettant en valeur les multiples aspects de la vie quotidienne. Ces aides du quotidien sont autant d’occasions de créer de la relation et donc, de l’appel à vivre, pour des personnes en fin de vie dont les activités de base comblent de plus en plus le temps et l’espace. Cela demande une certaine virtuosité aux accueillants pour faire passer avec bonne humeur et sur la durée, l’importance des « petits riens » qui rendent la vie plus facile aux personnes accueillies.

La qualité de l’accueil, appelée ici « accueillance », semble être l’objectif à atteindre pour pro­mouvoir l’accueil familial de personnes âgées. L’accueillance ne peut se réaliser qu’à certaines conditions qui ne mettent pas seulement en cause la motivation des familles postulantes, mais aussi la volonté des politiques publiques à former et accompagner des accueillants qui risquent de s’épuiser car ils ne sentent pas soutenus.

Entre des pratiques professionnelles en mal de reconnaissance et une identité professionnelle mal définie, les accueillants familiaux accueillant familial
accueillants familiaux
Agréés pour prendre en charge à leur domicile des personnes âgées ou handicapées adultes n’appartenant pas à leur propre famille, les accueillants familiaux proposent une alternative aux placements en établissements spécialisés.
de personnes âgées construisent des représentations pro­fessionnelles de l’accueil. Les représentations servent à guider les pratiques. Ces représenta­tions professionnelles sont liées au sentiment de libre choix d’exercer cette activité : telle était l’hypothèse principale de ce travail. « Analyser une représentation sociale, c’est tenter de com­prendre et d’expliquer la nature des liens sociaux qui unissent les individus, les pratiques ^ociales qu’ils développent, de même que les relations intra- et inter-groupes [2] ».

Analyse des résultats

L’analyse des 42 questionnaires exploitables a permis de proposer une typologie de ces repré­sentations, sachant qu’un individu ne représente pas à lui seul une caractéristique « typique » mais qu’il s’agit de tendances ou de facettes pouvant se retrouver chez un même sujet. Ces représentations se répartissent en cinq groupes ou classes dans l’échantillon.

Le premier groupe se remarque par la prédominance des choix positifs, ce qui n’exclut pas des remarques critiques sur l’activité. Le discours est très centré sur l’importance des relations familiales : les accueillants considèrent que la personne âgée est stimulée par la vie familiale, sa relation avec sa propre famille est considérée comme un avantage et l’association y est sol­licitée dans ce sens. Cette classe de discours se définit par une vision optimiste de l’activité qui correspond à un choix de vie : l’importance des échanges affectifs est le signe de la qualité de vie pour les personnes accueillies comme pour la famille accueillante. Nous avons qualifié ce groupe « Accueillance familiale ».

Un deuxième groupe s’oppose aux trois restants, et se caractérise par des choix équilibrés dans les réponses positives et négatives. Le discours met en avant les conditions confortables de l’accueil et développe des qualités de partage, de participation et de relations avec les per­sonnes accueillies et leurs familles. Il y a une demande de formation. Cette description rend compte d’une pratique qui inspire réflexion, interne et externe, proche du travail social. Aussi l’avons-nous appelé « Accueillance sociale ».

Le troisième groupe met en avant des items liés aux revenus, considérés comme complémen­taires, et aux conditions de travail ; il considère comme un avantage le fait de travailler à domi­cile et attend de l’association des possibilités de remplacements. L’amélioration de la qualité de la vie comme famille accueillante passe par des possibilités de repos et de vacances. Cette description correspond à un discours de type revendicatif, tendant à vouloir faire recon­naître ce travail comme un travail salarié et à faire valoir des droits sociaux. Nous l’avons nommé « Accueil salarié ».

Le quatrième groupe se définit comme travailleur indépendant : il considère exercer un travail social et être aidé pour cela par le milieu médical. La raison de l’activité est d’être chez soi, mais l’inconvénient majeur est la disponibilité permanente. Respecter l’intimité des accueillis, leur accorder un espace privé, ainsi que préserver des moments d’intimité à soi et à sa famille, apparaissent comme les soucis principaux. Ce groupe ne retient pas comme avantage le fait de partager les repas familiaux, ni la stimulation qu’il peut représenter pour la personne accueillie. Cette vision du « chacun chez soi » et de « l’indépendance scrupuleuse » nous a conduits à qua­lifier ce groupe d’« Accueil libéral ».

Le cinquième groupe se distingue de tous les autres par la masse de ses choix négatifs. Tout en étant réservé sur l’interprétation des résultats de ce groupe, qui pourraient être dus à une incom­préhension des questions ou à un manque d’intérêt pour le questionnaire, ou bien encore au fait de ne pas se retrouver dans les réponses proposées, nous avons opté pour une caractérisation par défaut sous le terme « Accueil aquabonniste ».

Ce terme est emprunté, avec son accord, au travail de Christine Mias [3]. L’aquabonnisme désigne les travailleurs sociaux qui ont le sentiment d’avoir perdu le sens, les repères et le contrôle de leur travail.

Nous pensons que la réaction négative au questionnaire dans son ensemble aurait entraîné une absence de réponse (le questionnaire était bien sûr anonyme et il n’y avait aucune obligation à le renvoyer), et que l’accumulation de réponses négatives pouvait signifier une réaction néga­tive à ce travail ou, pour le moins, une absence de représentation professionnelle de l’accueil. À l’opposé du premier groupe qui réalise ce travail par choix et avec implication affective, nous interprétons l’importance des choix négatifs comme une obligation à exercer cette activi­té, sans intérêt particulier ni épanouissement personnel.

Dans l’analyse des résultats, il est intéressant de souligner ce qui oppose les différents groupes :

  • comme nous venons de le voir, entre les groupes 1 et 5, le premier facteur d’influence des représentations professionnelles est donc le choix de l’activité ;
  • le deuxième est le sens de l’activité : le groupe 2 est centré sur l’intérêt de la personne accueillie et les groupes 3 et 4 sur celui de la famille accueillante ;
  • le troisième facteur est celui qui différencie les groupes 3 et 4, c’est-à-dire le statut de l’acti­vité : d’un côté un statut de salarié, de l’autre un travail de type libéral.

Nous rappelons avec insistance qu’aucune famille accueillante ne rentre dans tel ou tel groupe ou n’appartient à telle ou telle catégorie, ce qui tomberait dans la caricature. Il s’agit de groupes de discours et de classification de mots qui permettent de repérer les différentes représentations professionnelles des accueillants familiaux de cet échantillon : ce modèle n’est pas exclusif et n’est sans doute que le début d’une exploration.

À quoi cela sert-il de montrer qu’il existe des représentations professionnelles de l’accueil familial de personnes âgées ? Notre réponse prend la forme d’une métaphore théâtrale :

  • au chercheur, cela sert à vérifier son hypothèse : il existe bien des représentations profes­sionnelles de l’accueil familial des personnes âgées, et elles sont d’abord liées au sentiment de libre choix d’exercer cette activité. Le chercheur est un agent éclairagiste qui braque son pro­jecteur pour mettre en évidence certains aspects des acteurs ;
  • aux familles d’accueil, cela devrait permettre de revaloriser leur travail : si elles ont du mal à faire reconnaître leur identité professionnelle et à valoriser leurs pratiques, la construction de représentations leur permet de donner du sens à ce travail. L’accueillant familial est un acteur qui se dépense beaucoup mais, sans lumière, il est invisible et, sans auteur, il est inconnu.
  • aux autres acteurs sociaux et aux décideurs des politiques sociales, cela devrait servir à prendre en compte et à promouvoir cette modalité d’accueil. Le décideur des politiques sociales est un auteur qui décide ou non de mettre en scène cet acteur ou un autre, et pour cela, de trouver les fonds nécessaires pour assurer la représentation théâtrale.

Questions et perspectives

Entreprendre une recherche, c’est commencer un livre : le premier chapitre campe les person­nages et introduit l’action. À ce stade, de nombreux chapitres s’ouvrent devant vous, et comme dans les histoires dont vous êtes le héros, plusieurs itinéraires peuvent être envisagés.

Version ethnographique (étude descriptive de toutes les données relatives à la vie d’un groupe humain déterminé) ou ethnologique (étude scientifique et systématique des sociétés dans l’en­semble de leurs manifestations linguistiques, coutumières, politiques, religieuses et écono­miques, comme dans leur histoire particulière), le chercheur ira vérifier, par des entretiens approfondis et des récits de vie, si ses hypothèses et sa typologie se trouvent confirmées. La recherche pourrait alors s’orienter dans quatre grandes directions :

1. Les représentations professionnelles méritent d’être approfondies et affinées. L’accueil salarié ne se résume pas à l’obtention de repos et vacances et nécessite de dessiner un contour plus précis des conditions minimales rendant ce travail acceptable pour ses acteurs.

L’acteur libéral démontre en creux les contraintes de la disponibilité permanente et la néces­saire prise de recul et de temps pour soi, sous peine de cohabitation difficile. Cependant cette représentation peut naviguer entre l’illusion du sentiment de liberté à travailler chez soi et l’éventuelle mainmise du secteur marchand encourageant à la libre entreprise. Ces aspects des choses n’ont été qu’effleurés dans notre travail.

L’accueillance familiale, avec sa générosité et son absence de limites, peut être la plus sensible au « burn-out » (usure ou épuisement professionnel). À donner beaucoup dans l’affectivité, sans même s’en rendre compte, le risque est réel d’épuiser son énergie et sa bonne volonté. L’accueillance sociale nous semble être la représentation en voie de professionnalisation.

L’aquabonnisme peut être une manière de se défendre des grandes pressions qui s’exercent sur les accueillants, leur constituant ainsi une carapace. Cette implication passive nous semble pré­judiciable à la qualité de l’accueil. L’absence de représentations serait la reproduction d’une perte de sens et de valeurs pour les accueillants, et serait dangereuse pour les accueillis. Ces représentations professionnelles sont liées à des facteurs d’influence : le choix de cette activité nous paraît déterminant. D’autres facteurs pourraient être explorés : l’appartenance associative par exemple.

2. L’identité professionnelle est un domaine particulièrement intéressant à reprendre dans la configuration des familles d’accueil. Entre domaine privé et domaine professionnel, on parle beaucoup aujourd’hui du travail à la maison. Que fait-on en plus parce qu’on est chez soi ? Qu’est-ce qui est gratuit et payant ? Entre les aides à domicile et les offres de services, la pro­fessionnalisation des activités domestiques ouvre-t-elle des perspectives ou réduit-elle à sa por­tion congrue le contenu de l’accueil familial ?

Ce travail est-il particulièrement invisible et plutôt mal payé parce que c’est un travail de femmes ? La banalisation des aides à la vie quotidienne, secteur dévolu aux femmes, permet-elle de valoriser une identité professionnelle ?

Le peu de visibilité des familles d’accueil dans la nomenclature du travail social serait-elle le signe d’un secteur organisé en castes ? Y aurait-il le sous-prolétariat du travail social comme les « petites mains » dans la haute couture ? Cette identité professionnelle n’est-elle pas d’au­tant plus difficile à dessiner que les acteurs sont dispersés géographiquement, sans relations professionnelles organisées, et renvoyés à leurs individualités ?

3. La formation des familles d’accueil peut-elle s’inscrire comme une nécessité et une chan­ce pour les acteurs ? S’entendre sur ce que former veut dire : avoir des connaissances sur la psychologie et les pathologies des personnes âgées n’est pas superflu mais ne saurait suffire à la nécessité d’échanger sur les pratiques au quotidien. La formation initiale n’a de raison d’être que par son prolongement en formation continue : l’accompagnement et le suivi des familles d’accueil peuvent se concevoir comme des groupes de paroles, d’analyse des pratiques, perçus comme soutien et accompagnement nécessaires à la relation.

Les formations et qualifications obtenues par les assistantes familiales sont-elles un modèle à suivre ? Même imparfaites, ces formations ont au moins le mérite de prouver que, pour s’oc­cuper d’enfants, la bonne volonté et la motivation ne suffisent pas. La formation nécessaire et obligatoire pour travailler auprès des personnes âgées constituerait une avancée vers la recon­naissance sociale. Encore faut-il que cette obligation ne soit pas perçue comme une contrain­te, mais comme une aide et une valorisation.

Dans ce cadre, poursuivre la recherche autour de la qualité de l’accueil, que nous avons appe­lée l’accueillance, constitue une entreprise et une élaboration qui ne pourront qu’être collec­tives et nourries des pratiques de terrain.

4. L’information sur cette modalité d’accueil viendrait combler un déficit important de ce qui est appelé aujourd’hui le besoin de « communication ». Qui connaît les familles d’accueil de personnes âgées ? Après la terrible canicule de l’été 2003, où l’on expliquait le nombre de victimes dans les structures collectives par le manque d’effectifs, et dans le maintien à domi­cile par un abandon familial supposé, qui a entendu parler des familles d’accueil ?

Les diplômes universitaires de gérontologie préparent-ils à concevoir des modalités alterna­tives d’hébergement pour les personnes âgées ? Les nombreuses publications concernant l’ac­compagnement de la vieillesse font-elles référence aux familles d’accueil ? Quelle place est accordée aux familles d’accueil dans les politiques sociales en faveur des personnes âgées ?

L’évaluation quantitative relatée dans le numéro 15 de « L’accueil familial en revue » montre que les départements ont vu se développer de manière significative, ou au contraire, diminuer massivement, les familles d’accueil de personnes âgées entre les recensements de 1996 et de 2002. La compréhension de ces écarts pourrait nous permettre de continuer la réflexion.

À cette étape du travail, j’ai conscience d’avoir davantage ouvert de portes pour continuer la recherche qu’apporter de réponses aux questions posées. Si l’invisibilité de l’accueil familial a motivé cette étude, je pense pouvoir apporter ma modeste contribution par mon travail de for­matrice de travailleurs sociaux.

En forme de conclusion provisoire, je dirais : sortir de l’ombre et promouvoir cet accueil est nécessaire pour répondre aux besoins de prise en charge des personnes âgées et demande l’im­plication de tous.

Notes

[1Ce texte est une synthèse du travail de Josette Ouillamin dans le cadre de l’obtention du diplôme uni­versitaire d’étude des pratiques sociales (Toulouse II Le Mirail, septembre 2003). Il a également fait l’ob­jet d’une présentation lors des journées d’étude organisées par l’IFREP en décembre 2004

[2C. Bonardi et N. Roussiau, « Les représentations sociales », Topos DONOD, 1999

[3« L’implication professionnelle dans le travail social », L’Harmattan, 1998